Vu | Le Trotteur et l’Enfant
April 20, 2019Le Trotteur et l’Enfant - avril 2019
Le Trotteur et l’Enfant - avril 2019
Portraits de Pierre et Nicolas Seillan réalisés au Château Lassègue (Saint-Emilion) en mars dernier.
Clap de fin pour la Semaine des Primeurs 2019 à Bordeaux. Retour en images sur quelques dégustations, entre Margaux et Saint-Emilion.
Je sais sonner du cor clairement et bravement, et crier à faire retentir la forêt de mes airs de hallali.
— (Walter Scott, Ivanhoé)
Jour de chasse à courre dans les Landes de Gascogne (Lencouacq, février 2019).
Une série d’images réalisées pour Château Canon, qui souhaitait documenter et archiver la diversité de ses paysages souterrains. Dans le sous-sol de la propriété un dédale de 30 km de galeries permet d’observer les radicelles de la vigne, chargées de gouttelettes d’eau, qui pendent sur les voutes des galeries calcaires que l’homme a creusé au fil des siècles.
Portrait de Gilles Meyrous, agriculteur à la retraite, à Lencouacq, Landes.
Quelques images extraites d’une série documentant les dégustations d’assemblages, ici au Château Canon, Saint-Emilion.
Finex (Fin d’Exercice en language militaire) et retour aux hangars pour l’Ecureuil du Groupe Instruction des Forces Aériennes de la Gendarmerie, à Cazaux, après un séance de vol de nuit.
Une série de portraits commandée par le Château La Dominique, dans le cadre d’une publication sur la Journée Internationale de la Femme 2019.
Retrouvez d’autres portraits ici.
Portrait de Christina et Nicolas Seillan, réalisé en février dernier au Château Lassègue (Saint-Emilion).
Quelques images d’hiver réalisées récemment pour le Château Fieuzal.
Une image réalisée à l’occasion d’un reportage dans l’Altai mongol, à la frontière du Kazakhstan.
Pourquoi j’aime cette image :
1. pour sa composition : d’abord une diagonale principale, qui tranche l’image en deux, de la tête du cheval à sa jambe postérieure. Cette rectitude est renforcée par la direction de l’oreille du cheval, aussi tendue que la rêne tenue par le petit garçon, et par la coupe “en brosse” du cheval. Ensuite, une succession de plans, le cheval et l’enfant d’abord, les deux chevaux sans cavaliers ensuite, les collines et le ciel enfin.
2. parce qu’elle repose sur des contraires : d’une part, une composition générale très tendue (ligne, oreille, rênes, regard de l’enfant, croix formée par le couple cavalier-cheval), opposée à un sentiment de détente, suggéré par la longe, détendue sous l’encolure et en arc de cercle, et l’attitude décontractée des chevaux en arrière plan (rênes au sol, libres, jambe postérieure relâchée). D’autre part, un fort contraste entre zones sombres (chevaux, oeil du cheval, crins) et claires (ciel, bride et rênes, vêtements, zone lumineuse sur le corps du cheval).
L’utilisation d’un objectif grand angle et d’une prise de vue en contre plongée donne l’impression que le couple cheval-cavalier pénètre dans l’appareil, voir dans l’oeil du spectateur, sentiment renforcé par le regard “inquisito-interrogatif” de l’enfant.